(Comme promis, je vous propose aujourd'hui une analyse de ce rêve "lucide" que j'ai fait quand j'avais 6 ans et que je vous ai raconté la dernière
fois...
Si vous ne vous en rappelez plus, ou si vous n'avez jamais lu cette note, vous pouvez la lire ici.
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"Pourquoi faire analyser un rêve?", on pourrait se demander.
Un peu de mathématiques pour répondre à cette question : en moyenne, on rêve 100 mn par nuit (source internet). Sur 30 ans de vie, j'ai déjà dormi 10 960 nuits, ce qui nous fait
1 095 000 mn de rêve, soit 18 250 heures, soit 760 jours, soit approximativement 25 mois, soit déjà un peu plus de 2 ans !...
"Est ce que ça sert vraiment d'analyser ces rêves?". Je ne sais pas.
Mais ce serait dommage de laisser filer ces deux années sans se demander où elles sont passées...
Accessoirement, puisque j'ai vachement raconté ma vie aujourd'hui, je vois pas pourquoi je m'arrêterai en si bon chemin.
Une précision donc : dans la vraie vie, ma mère n'est pas un dragon, c'est une humaine comme les autres. Dans la vraie vie, mon père n'a jamais été un Prince du type de Robin des bois.
Les rêves nous montrent les choses telles qu'on les a intériorisées, pas telles qu'elles sont dans la réalité (donc maman ne te vexe pas (trop) s'il te plaît).
Voilà, j'espère que cette note vous aura intéressée. Moi j'ai pris pas mal de plaisir à la penser et à la dessiner.
Si ça vous inéteresse, il y a le site de Tristan-Frédéric Moir qui est vraiment pas mal foutu pour ce genre de réflexions (site
consacré au rêve et à leur lecture psychanalytique)...
Enfin, pour ce qui est du concours (voir note précédente), ça a été vachement dur de vous départager, mais chose promise, chose dûe!
Schmoll, Ann, et Mademoiselle C, par exemple, était pas très loin quand ils disaient que le changement dans l'histoire
représentait une espèce de prise de conscience. Mais la plus proche, à mon avis, c'est Aurélie, qui a reconnu dans le
Prince et de Dragon qui se battent les "parents qui se disputent dans la pièce à côté". Chère Aurélie donc, envoie moi un mail avec ton adresse et je te fais suivre ce petit book
imprimé.
(et Thomas Mathieu je te compte pas pardon, mais c'est parce que tu connais bien ma vie, du coup c'est plus
facile de deviner le sens de ce rêve... Mais je te ferai un joli dessin la prochaine fois qu'on se verra, promis).
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